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Post Tenebras Lire đź“š

PostTenebrasLire@bw.diaspodon.fr

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Les lectures de @_Christ_OF@diaspodon.fr
Science-Fiction, Japon, Humour, Polar, Science, Post-Apocalyptique, Fantastique, Histoire , Fantasy, Religion, Manga, Littérature Russe
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Béa Wolf (GraphicNovel, français language, Albin Michel) 5 stars

Découvrez les exploits de la fière Béa Wolf, porte-drapeau de la cabane Coeur-d'arbre ! La …

Beowolf pour les plus jeunes… mais pas que

5 stars

Une superbe histoire inspirée du poème Beowolf, écrite par Zach Weinersmith et illustrée par Boulet. C'est très bien vu, ça se moque des adultes et des ados, et l'écriture rappelle le poème. J'ai adoré.

Seul autour du monde sur un voilier de onze mètres (French language) 4 stars

Sailing Alone Around the World is a sailing memoir by Joshua Slocum in 1900 about …

Le récit du premier naviguateur solitaire autour du monde

4 stars

Joshua Slocum est premier navigateur à avoir fait le tour du monde en solitaire. Ce livre est son récit du tour de monde

J’aurais envie de dire « il ne savait pas que c’était impossible, alors il l’a fait ».
C’est le récit de voyage d’un homme d’une grande modestie. Il parle par exemple de son père qui pour lui sur une île déserte aurait juste besoin d’un couteau et d’un arbre pour quitter ladite île en bateau.
Joshua lui reconstruit lui-même son voilier. Voilier pour lequel il aurait toujours manifesté une grande confiance et une grande tendresse.

Voilier, voile faut-il avoir pratiqué ce sport pour saisir l’âme de ce livre.
Je le pense (mais ne partez pas tout de suite). Je n’ai jamais navigué en solitaire, ni fait le tour du monde.
Mais j’ai navigué en mer du Nord, Manche et Atlantique sur toutes sortes de voiliers.
Du bateau …

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Du champagne, un cadavre et des putes, tome 2 (Du Poignon Productions) 5 stars

Alice, jeune prostituée, est retrouvée morte dans son appartement. L'enquête de police qui en découle …

Plus Ă©blouissant qu'il est possible de l'imaginer

5 stars

Ce qui est sûr, c'est que Vaquette sait faire désirer ce qu'il semblait mettre au cœur de ce deuxième tome, car j'ai bientôt dévoré la moitié de cet ouvrage fort conséquent avant d'arriver enfin au récit d'une première rencontre. Sacrée première partie, d'ailleurs : totalement inattendue, elle s'applique à développer longuement un autre personnage féminin, amie et colocataire d'Alice : Lauranne. Avant même de rentrer dans le vif du sujet, je donc déjà conquise par ce premier chapitre qui est un portrait vivant, une histoire abrupte racontée avec une immense lucidité et un sacré sens du concret. Juste dans chacune de ses facettes, ce récit nous gratifie, au passage, de véritables envolées contestataires dans lesquelles la passion des convictions réussit à triompher des objections. (J'ai d'ailleurs évoqué l'une d'entre elles ici, pour les curieux).

Quand enfin, je suis arrivée au cœur de "l'histoire dans l'histoire", quand enfin Alice et Lawrence …

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Comme vous le savez peut-être, j’essaie d’alterner lecture plaisir et lecture classique.

Pourquoi/comment j’ai ajouté « À la recherche du temps perdu » dans ma #PÀL, aucune idée. Mais d’avoir la réf à la fameuse madeleine de Proust, ça me plaisait bien.

Malheureusement, j’ai vite déchanté ; le style n’est clairement pas pour moi. Ça m’est potentiellement déjà arrivé avec d’autres livres lus pour le collège/lycée (en tout cas j’ai oublié), mais les phrases d’une page, ça fait bizarre. Peut-être est-ce une habitude à (re)prendre ?

Quoi qu’il en soit, pour la première fois depuis longtemps, je ne suis pas allé jusqu’au bout. J’ai quand même terminé la première partie, et je compte continuer plus tard, mais là, j’ai besoin d’une pause :þ

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La Plus Secrète Mémoire des hommes (Paperback, français language, 2021, Philippe Rey) 4 stars

Un magistral roman d'apprentissage, une saisissante enquête sur les traces d'un mystérieux auteur menée par …

L'exilé est obsédé par la séparation géographique, l'éloignement dans l'espace. C'est pourtant le temps qui fonde l'essentiel de sa solitude : et il accuse les kilomètres alors que ce sont les jours qui le tuent.

La Plus Secrète MĂ©moire des hommes by 

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Solarpunk: Ecological and Fantastical Stories in a Sustainable World (2018, World Weaver Press) 4 stars

Imagine a sustainable world, run on clean and renewable energies that are less aggressive to …

Solarpunk: Ecological and Fantastical Stories in a Sustainable World

4 stars

Solarpunk: Ecological and Fantastical Stories in a Sustainable World est la traduction en langue anglaise de la toute première anthologie de nouvelles solarpunk publiée dans le monde. La version originale avait été dirigée par Gerson Lodi-Ribeiro et publiée en 2013 au Brésil ; la version anglaise dont je vais vous parler ici a été traduite par Fabio Fernandes et publiée en 2018 chez World Weaver Press.

Imagine a sustainable world, run on clean and renewable energies that are less aggressive to the environment. Now imagine humanity under the impact of these changes. This is the premise Brazilian editor Gerson Lodi-Ribeiro proposed, and these authors took the challenge to envision hopeful futures and alternate histories. The stories in this anthology explore terrorism against green corporations, large space ships propelled by the pressure of solar radiation, the advent of photosynthetic humans, and how different society might be if we had switched to …

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Q comme Qomplot (French language, 2022, Lux Éditeur) No rating

La promesse des médias sociaux et la réalité des faits

Il y a, en amont, un malentendu sur l’expression « médias sociaux » elle-même. Surtout lorsqu’elle est transférée dans le contexte italien, cette expression est à la fois générique et erronée :

  • gĂ©nĂ©rique parce que tous les mĂ©dias sont sociaux : ils sont dans la sociĂ©tĂ©, concernent la sociĂ©tĂ©, s’adressent Ă  la sociĂ©té ;
  • erronĂ©e parce que « social » revĂŞt ici l’acception 2c du Merriam-Webster : « de, relatif Ă  ou conçu pour la sociabilité », qui est Ă  son tour une condition « marquĂ© par ou propice Ă  la convivialitĂ© ou Ă  des relations sociales agrĂ©ables ».

L’expression « médias sociaux » signifie donc plus ou moins « moyens de communication conçus pour vous permettre de rester de bonne humeur en bonne compagnie ». Ce nom est déjà un slogan et une promesse : si vous traînez par là vous aurez plein d’amis et de relations agréables.

Mais alors, si l’on considère les médias sociaux les plus courants, on en vient à se demander : quel rôle jouent les inimitiés, les relations toxiques, les échanges avec des personnes déplaisantes ? Pourquoi tant de groupes d’«amis» sont-ils des bandes de bêtes féroces et pourquoi tant de gens sont-ils aussi clairement furieux ?

Eh bien ! parce que vu le moment historique et le modèle d’entreprise, c’est bien à ça qu’on en arrive.

Moment historique : nous sommes dans le capitalisme et en pleine crise mondiale. Beaucoup de gens ont une vie de merde, des raisons d’être furieux, ils en ont à gogo, et tôt ou tard ils commencent à débloquer sur les réseaux.

Modèle d’entreprise : pour les commerciaux des réseaux, ces déblocages valent de l’or.

Mais peut-être faut-il une métaphore plus précise : sur les réseaux, et significativement sur Facebook, les relations sont à la fois le sol à creuser et la matière première à extraire et à valoriser. C’est là aussi une forme d’extractivisme : tout ce qui se passe sur Facebook dérive de la nécessité de sonder, d’extraire et de vendre la vie des gens. La machine de Zuckerberg a commencé mollement, puis elle est montée en puissance, et à côté d’elle la fracturation hydraulique est aujourd’hui une plaisanterie.

Nous avons écrit là-dessus « à une époque insoupçonnable », comme on dit : en 2011, un de nos posts sur le « fétichisme de la marchandise numérique » et sur l’exploitation du surtravail dans les interactions sur les réseaux avait irrité ou provoqué des réactions sarcastiques et passives-agressives.

En 2011, on vivait encore la lune de miel avec le web « 2.0 », il y avait le mythe de la Silicon Valley et les techno-enthousiastes se divisaient en trois catégories :

  • une minoritĂ© de rĂŞveurs en retard, convaincus que la toile Ă©tait encore celle de l’époque « hĂ©roĂŻque » et de l’« éthique hacker », et qui vous traitaient d’« apocalyptique » si vous la critiquiez;
  • une autre minoritĂ©, composĂ©e de startupers et d’apologistes du startupisme, dont vous ruiniez le business potentiel si vous critiquiez le Saint RĂ©seau (des gens qu’on a ensuite vus dĂ©filer Ă  la Leopolda) ;
  • une grande majoritĂ© d’inconscients, une vaste masse de nĂ©o- phytes qui arrivait sur internet grâce Ă  Facebook et utilisait les technologies numĂ©riques sans se poser la moindre question.

Facebook vend mes données personnelles ? Et qu’y a-t-il de mal à ça ? Le contrôle ? Contrôle de quoi ? Le respect de la vie privée ? Mais pourquoi, tu as quelque chose à cacher ? Pas moi ! Celui qui ne fait rien de mal n’a rien à craindre, etc.

Durant l’été 2010, nous avions lu un essai « fondateur » de Maria Maddalena Mapelli, paru dans la revue Aut Aut puis sur Carmilla et qui avait assez vite pris la forme d’un livre intitulé Per una genealogia del virtuale. Dallo specchio a Facebook (Pour une généalogie du virtuel. Du miroir à Facebook). Mapelli qualifiait Facebook de dispositif « uniformisant et persuasif » : « [P]ersuasif, dans le sens où il induit des comportements automatiques et prévisibles (il nous veut, justement, tous vrais et sociaux) et à la fois uniformisant dans le sens où il induit, en nous, utilisateurs, des distributions identitaires, des modalités d’interaction et de narration, des régimes de visibilité qui nous rendent sériels et identiques. »

Dès ses débuts, avec l’injonction d’utiliser son vrai nom — ce qui fut un tournant radical dans l’histoire du web : avant « personne ne savait que tu étais un chien » — et de mettre sa photo, Facebook a démontré qu’il nous voulait « vrais et réels en tant qu’individus » : « Facebook induit des processus de subjectivation individualisants : il induit une vision monolithique et cohésive de l’identité, en nous interdisant explicitement de jouer avec des repositionnements créatifs du Soi. Cet aspect du dispositif […] accroît le potentiel de ressemblance de notre alter ego numérique avec le réel : tout comme nous sommes poussés à donner une “vraie” image de nous-mêmes, nous attribuons aussi aux autres “avatars”, aux alter ego numériques de nos “amis”, une consistance qui dans d’autres lieux du web, ne possède pas la même force persuasive. »

Quant à l’uniformisation, à l’époque on pouvait penser que Mapelli exagérait, mais la chose est devenue de plus en plus évidente. Sur Facebook on finit par communiquer presque tous de la même façon, par suivre les mêmes schémas et parcours, par réagir aux mêmes stimulations standardisées selon les mêmes modèles.

Comment, pardon ? Putain, encore cette histoire ? Que c’est chiant… Non, il n’est pas vrai que « chaque technologie dépend de la façon dont on l’utilise ». C’est une petite phrase trompeuse.

« Tout dépend de comment vous l’utilisez » présuppose une idée de technologie neutre, un outil pur qui, quand je le prends en main, devient, ou peut devenir, une projection directe de ma volonté. Ça ne marche pas comme ça. Chaque technologie a une logique de fond inscrite en elle qui en établit l’utilisation. Même la technologie la plus simple fonctionne sur la base d’un algorithme, c’est-à-dire une séquence d’instructions pour accomplir une opération définie. L’algorithme inscrit dans le cric est la bonne façon de l’utiliser pour changer une roue. Essayez de faire la même chose avec un tube de baume à lèvres et voyons si vous allez loin. Essayez d’utiliser une lame de rasoir pour vous laver le cul. Essayez de dire que le gaz sarin, ça dépend de comment vous l’utilisez.

Dans le cas présent, la technologie dont nous parlons est une complexe infrastructure planétaire de communication, projetée et continuellement weaponisée, acérée pour aiguillonner de toutes les manières possibles les échanges et les interactions entre les personnes, et transformer ces échanges et ces relations en marchandise. Et il ne s’agit pas de la « marchandisation » au sens figuré dont parlait la théorie critique du XXe siècle (de l’école de Francfort, des situationnistes, de Pasolini, etc.) : non, ces relations deviennent des mégadonnées à vendre, donc des marchandises au sens littéral du terme.

Si l’on parle d’une technologie de ce genre, il est vraiment naïf de penser que l’individu isolé ait une quelconque marge de choix, ou une quelconque marge de manœuvre pour pirater ce milieu.

À plus forte raison si l’aiguillon et l’extraction de valeur adviennent grâce à un processus grandissant de gamification, très semblable à ce qui est utilisé dans le jeu vidéo de hasard, de la programmation des machines à sous aux sites de paris, en passant par le poker en ligne. Une machine à sous ne « dépend pas de comment on l’utilise » : on l’utilise comme elle a été programmée, point. Et elle a été programmée pour susciter une dépendance comportementale : l’hasardopathie (nous sommes d’accord avec ceux qui invitent à ne pas l’appeler « ludopathie »).

Ici aussi, la translation depuis l’anglais suscite une déperdition de l’information. Game au sens de partie, concours, compétition (même seulement avec soi-même) ; gamification signifie ajouter à une activité, à une interaction entre personnes, à un milieu communicatif, des scores, des records, des prix, des « récompenses variables », des niveaux à dépasser, parfois des punitions à éviter, tout cela pour rendre l’ex- périence addictive.

On trouve dans le livre du groupe de recherche Ippolita, Tecnologie del dominio (Technologies de la domination), une importante réflexion sur la gamification. Une élaboration ensuite reproposée, dans un cadre plus hybride et narratif, dans le livre d’Agnese Trocchi et CIRCE Internet, mon amour. Ces deux textes offrent un vadémécum qui permet de comprendre si un contexte est gamifié.

Si l’on considère la liste des caractéristiques, Facebook les possède toutes. Citons cet extrait de la page 111 de Tecnologie del dominio:

Comme il arrive dans de nombreux jeux vidéo, 1) l’œil est surstimulé au point que le joueur-utilisateur ne rend pas compte qu’on l’appelle, voire qu’on le touche ; il peut marcher dans la rue et ne pas s’apercevoir d’un danger […] parce qu’il est immergé dans la procédure gamifiée ; 2) il tend à se connecter de plus en plus souvent à la plateforme qui octroie les sessions de jeu ; 3) il répète des actions simples de façon mécanique (like, post, défilement de l’écran, etc.) ; 4) il est orienté par des chiffres qui mesurent ses activités (nombre de notifications, de posts, de likes, etc.) ; 5) les règles du jeu changent en fonction de la volonté souveraine de la plateforme […] ; 6) l’entrée et la sortie de l’espace gamifié ne sont pas marquées de manière significative parce que le login et le logout sont automatisés et peuvent être effectués n’importe quand et n’importe où.

Q comme Qomplot by , ,

C'est un extrait d'un extrait de billet de blog publié en décembre 2019 sur le blog Giap par les auteurs. Il explique pourquoi ils ferment leur compte Twitter. Dans le bouquin, ce passage vient rappeler l'impact des réseaux sociaux sur nos comportements, ce qui nourrit l'attrait des fantasmes de complot, notamment.

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Les flibustiers de la mer chimique (Paperback, Français language, Albin Michel Imaginaire) 4 stars

Une folle odyssée sous des cieux aveuglants, sur des mers acides qui empruntent leurs couleurs …

#vendredilecture #SF Les flibustiers de la mer chimique de Marguerite Imbert

4 stars

C’est une épopée post-apocalyptique originale avec des personnages hauts en couleur. J’ai trouvé assez étrange qu’on trouve encore du Pepsi buvable et des médicaments et vitamines non périmées alors que l’humanité s’est effondrée environ un siècle plus tôt et qu’il n’y a probablement plus de chaine de production, mais cette histoire plutôt déjantée nous embarque assez facilement.

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Apprendre, si par bonheur (français language, 2020, L'Atalante) 4 stars

« Nous n’avons rien trouvé que vous pourrez vendre. Nous n’avons rien trouvé d’utile. Nous …

Exploration Ă©cologique

4 stars

Un très court roman que je qualifierais d'exploration écologique (ou scientifique). La lecture est très agréable et la science il est instillé avec délicatesse. Le ton est apaisé, nous cheminons avec bienveillance dans ces explorations, sur la pointe des pieds, planète après planète, mais également dans une forme de voyage intérieur.

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The Uninhabitable Earth (2019, Tim Duggan Books) 3 stars

It is worse, much worse, than you think. If your anxiety about global warming is …

Review of 'The Uninhabitable Earth: Life After Warming' on 'Goodreads'

3 stars

"The Uninhabitable Earth" by David Wallace-Wells is a necessary book. It comprehensively lays out the possible consequences for humans and the earth as a result of climate change. It is immensely sobering stuff. It really hits you hard. I hate to fault such an important book but I found that the parts of the book did not feel like they cohered together that well. The book is essentially divided into three parts - an introductory essay about his growing fears about climate change and fears about the cascading effects of changes that will compound each other. The second looks at twelve different areas that will most likely be affected by climate change. The final part looks at the possible sources of our lack of engagement with the topic or our lack of action. I found the later part the most interested while the introductory essay was something I really had …

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Changer l'eau des fleurs (Paperback, French language, 2018, Albin Michel) 4 stars

Du feel-good comme s'il en poussait sur les dalles des cimetières

4 stars

Mille ans après tout le monde, j'ai enfin lu ce roman qui m'avait été conseillé par plusieurs amies lectrices. Et oui, je savais très bien où je mettais les pieds, à savoir dans un cimetière dont la gardienne, personnage principal de l'histoire, prend soin des morts autant que des vivants, dans une histoire qui se déplie entre présent et passé, dans un livre pas difficile à lire et qui vous happe jusqu'à ce que vous ayez tourné la dernière page en soupirant. Rien ne m'a déçue. C'était sûrement pile la lecture dont j'avais besoin à ce moment-là, un roman qui fait du bien, qui aide à croire en l'humanité, en l'amour. N'hésitez pas.

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Les chiens de Pasvik (Paperback, français language, 2025, Seuil) 3 stars

Un polar à la frontière russo-norvégienne, dans lequel je me suis perdue

3 stars

Ça commençait pourtant bien, avec ce retour de la police des rennes, qui enquête sur des incursions de troupeaux en territoire russe et des invasions de chiens errants agressifs russes en Norvège. La nature ne connait pas de frontières, mais pour les hommes et les femmes de ces contrées samies, les bordures sont plus que de simples barrières, elles racontent aussi l'histoire de leur peuple, déchiré, irréconciliable. Néanmoins, je me suis perdue en route, entre les Russes d'un côté, les Norvégiens de l'autre, les policiers, les politiques, les mafieux, les samis, les vivants, les morts, j'ai eu du mal à raccrocher les wagons. Une déception pour moi qui avait adoré les opus précédents mais peut-être aussi n'était-ce pas le moment pour moi...

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