Olivia Lanchois sur Mastodon, Joan Duff ici. Je débarque, je jète un coup d'œil. Oui j'aime les jeux de mots foireux, mais aussi lire, faire des photos, peinturlurer, graver du lino. Blogueuse littéraire en stase, passée sur Notion pour gérer mes lectures, bibliothèques, et tout le reste de ma vie. J'ai fait un annuaire pour les Mastonautes également lecteurs/auteur.blogueurs etc répondant au tag #MastoLivre. J'aime les listes.
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Assez classique dans le propos mais très bien développé à tous les niveaux : personnages, intrigue, tension, on devine que tout va capoter mais le suspens réside dans le quand et le comment. Le fil rouge sur l'écriture offre un final bouleversant mais sans grandiloquence. Un grand cru.
Mes impressions en vrac (je vais pas faire une dissertation non plus !) Insipide, ennuyeux, poésie du dimanche, Principale qualité : sa brièveté. Mais j'ai quand même lâché l'affaire avant la fin. Principal défaut : sa brièveté, car rien n’est développé, la relation épistolaire entre les 2 personnages est sans saveur, le tout n’a ni queue ni tête, ni intrigue, ni personnage, ni univers, des lettres d’amour sans profondeur.
Un hommage flagrant et assumé à The Shining, de Stephen King. Une station de ski pendant l’été, uniquement peuplée de quelques saisonniers et de locaux chargés d’entrenir la station hors saison. Hugo, le principal protagoniste, est un écrivain et un comédien plus ou moins raté. Il sort d’une rupture amoureuse difficile et se retrouve en petit comité avec des inconnus. L’ambiance de la station le met vite dans un état d’esprit propice à enflammer son imagination déjà débordante.
Tout le roman repose sur les angoisses d’Hugo, sur les ambiances et l’atmosphère particulière d’un lieu à peu près désert mais immense. Sur ce point c’est une vraie réussite. L’action n’est donc pas le point d’intérêt du récit. L’évolution de la psychologie d’Hugo est passionnante à suivre. Néanmoins, si Hugo est perpétuellement dans le doute concernant la véracité des événements, le lecteur a vite fait de se faire une idée. Le suspens …
Un hommage flagrant et assumé à The Shining, de Stephen King. Une station de ski pendant l’été, uniquement peuplée de quelques saisonniers et de locaux chargés d’entrenir la station hors saison. Hugo, le principal protagoniste, est un écrivain et un comédien plus ou moins raté. Il sort d’une rupture amoureuse difficile et se retrouve en petit comité avec des inconnus. L’ambiance de la station le met vite dans un état d’esprit propice à enflammer son imagination déjà débordante.
Tout le roman repose sur les angoisses d’Hugo, sur les ambiances et l’atmosphère particulière d’un lieu à peu près désert mais immense. Sur ce point c’est une vraie réussite. L’action n’est donc pas le point d’intérêt du récit. L’évolution de la psychologie d’Hugo est passionnante à suivre. Néanmoins, si Hugo est perpétuellement dans le doute concernant la véracité des événements, le lecteur a vite fait de se faire une idée. Le suspens est réduit à son minimum, le final est très prévisible et sans beaucoup de surprise. On voit venir la résolution trop vite, et chaque petite révélation n’en est pas vraiment une.
Un roman malgré tout agréable même si l’effet de surprise tombe carrément à plat. Pas le meilleur Chattam donc.